Voilà un cas classique : une enseigne ouverte illégalement, contrainte par décision de Justice à respecter la loi. Et le gérant de dire qu’il a du supprimer un emploi ! Sans dire combien d’emplois sa concurrence illégale et déloyale avait supprimé dans les enseignes concurrentes…. |
Repos désormais dominical à la Mie Câline de Cholet : jusque-là ouverte sept jours sur sept, l’enseigne installée place Travot a en effet décidé de fermer un jour par semaine. Décision effective depuis dimanche dernier.
Depuis des années, Benoît Badaud, le gérant franchisé, faisait de la résistance à un arrêté préfectoral datant de 2001 et interdisant la vente de pain en boulangerie industrielle sept jours sur sept, et ce malgré une première décision de justice qui lui était défavorable. Réglementation prise sous la pression des artisans-boulangers, juge benoît Badaud. À nouveau épinglé par l’inspection du travail à l’automne dernier et menacé à nouveau de passer devant le tribunal, il a finalement préféré jeter l’éponge.
D’après Benoît Badaud, sa décision a comme conséquence de supprimer un emploi. La Mie Câline de Cholet, aujourd’hui, compte sept salariés.