Le Parisien, 25/01
Le jugement devait être rendu aujourd’hui.Cependant, les responsables des 12 supérettes parisiennes qui ont comparu début janvier pour ouverture illégale le dimanche devront encore patienter quelques jours pour connaître la décision de la justice. Le Clic-P (le Comité de liaison du commerce de Paris regroupant 6 syndicats), qui les avait assignés, a en effet attaqué en justice une vingtaine d’autres enseignes pour les mêmes raisons.
Elles ont comparu dans la semaine, au cours de 2 audiences successives. La présidente du tribunal de grande instance, qui a examiné ces affaires, a préféré renvoyer l’annonce du jugement au 2 février pour J’ensemble des commerces assignés.
Les responsables de ces supérettes qui ne respectaient pas l’heure de fermeture légale (fixée à 13 heures le dimanche) affirment, pour la plupart, avoir régularisé la situation depuis leur assignation