Depuis la suspension, fin août, par le tribunal administratif de Lyon de l’arrêté préfectoral qui imposait un jour de repos hebdomadaire dans les boulangeries, les petites entreprises familiales s’inquiètent.
Elles doivent pourtant s’aligner pour ne pas perdre leur clientèle sans toutefois pouvoir embaucher. Et la boulangerie familiale Gay, installée à Lyon depuis 1935, de dénoncer une situation rétrograde qui fait le jeu des industriels.