Il fallait être bien naïf pour imaginer, comme il l’avait promis, que la loi du bon Docteur Mallié allait enfin apporter la paix et la concorde au pays des Bisounours : le premier mai tombant un samedi est l’occasion de nouvelles dérive. A quand la réforme de la loi Mallié, pour légaliser enfin les nouvelles conduites de « consommations exceptionnelles » illégales ?