Cinq syndicats (FO, CGT, CFDT, CFTC, SUD) ont écrit au préfet de Paris pour s’étonner de l’ouverture de supérettes (Shopi, Huit à huit… ) les dimanches toute la journée dans la capitale, alors que la loi ne l’autorise que jusqu’à 13h, et lui demander des sanctions.
Ces syndicats ont mis en place, début mars, un comité de liaison intersyndical du commerce de Paris, une démarche unitaire rare destinée à faire face « à l’accélération du la dégradation de la situation des travailleurs » parisiens de ce secteur.