Jacques Remiller écrit au CAD

« En ma qualité de membre du groupe d’études sur les marchés, le commerce non sédentaire et le commerce de proximité, j’estime que créer un tel besoin risque de briser l’équilibre des territoires en faisant migrer le dimanche vers les grosses agglomérations des clients qui font ordinairement leurs courses en semaine dans les villes moyennes. Une telle mesure ne ferait que fragiliser encore plus le commerce de proximité auquel les Français sont très attachés. Je suis maire d’une ville moyenne, Vienne (Isère), et je ferai tout mon possible pour que les commerçants de ma circonscription ne subissent pas une hémorragie de clients au profit des centres commerciaux lyonnais. »

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